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Test de SkyMaster : ma face Watch préférée pour Android Wear

Heureux possesseur d’une smart watch sous Android Wear, j’étais à la recherche d’une facewatch à la fois élégante, et riche en informations affichées simultanément. J’ai trouvé exactement ce que je cherchais avec SkyMaster, explications.

 

Pourquoi j’ai cherché un cadran alternatif ?

À l’origine de ma recherche, l’impossibilité de trouver un cadran standard affichant à la fois l’heure, une seconde horloge (je voyage parfois), date ainsi que le niveau de batterie. Je me suis donc penché sur le PlayStore pour trouver la perle rare. Accessoirement, je voulais un cadran au design sérieux «raccord» avec le style masculin plutôt réussi de la LG G Watch R. Et comme un bonheur ne vient jamais seul, j’ai eu le plaisir d’avoir de nombreuses autres bonnes surprises avec SkyMaster.

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Pourquoi SkyMaster est ma Facewatch favorite ?

Outre le look d’enfer façon cadran de montre d’aviateur, et le fait de pouvoir afficher toutes les informations qui m’intéressaient simultanément (voir chapitre précédent), je trouve particulièrement sympa de :

-Pouvoir personnaliser le nom de la montre sur le cadran (PoloWatch dans mon cas^^)

-Disposer d’un cadran qui affiche à la fois le niveau de batterie de la montre, mais aussi la charge du téléphone !

-Même si c’est gadget, pouvoir personnaliser la couleur des aiguilles

-Enfin, l’optimisation est telle que le nombre d’informations affichées simultanément peut être énorme (dans mon cas, 2 fuseaux horaires, charge montre, charge du mobile, date, jours, et – cerise sur le gâteau – nom personnalisé, mais je pourrais mettre la météo à la place si je le souhaitais 🙂

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Son seul défaut ?

Avis très personnel, je ne lui trouve qu’un unique défaut, celui d’être payant. Il m’en a couté 1 euro pour pouvoir en profiter, mais a posteriori, je ne regrette clairement pas, vous l’aviez compris 🙂

 

Et vous, quel est votre cadran alternatif préféré ?

 

Si Hitler avait connu Twitter : réflexion sur la censure indirecte

décembre 24, 2014 Laisser un commentaire

Twitter-Logo1Le but de cet article n’est pas de franchir le point Godwin dès apparition du titre, mais plutôt de se questionner sur l’impact que pourraient avoir les réseaux sociaux dans un monde totalitaire. Les réseaux sociaux – et Twitter en particulier – peuvent-ils favoriser la censure indirecte ou pire, la délation ? Passé l’effet de découverte euphorique, les Twittos pourraient-ils se réveiller avec la gueule de bois ? Ces quelques lignes esquisseront les contours de la question.

Quand Hitler rencontre Twitter

Imaginez un seul instant l’impact qu’auraient pu avoir les réseaux sociaux s’ils avaient existé pendant la Seconde Guerre mondiale. Vous êtes juif ou résistant et marchez dans la rue la peur au ventre. Un habitant zélé vous reconnaît. Il ne lui reste alors qu’à Twitter votre photo géolocalisée accompagnée d’un @Hitler pour vous faire tomber. Dans un tel contexte, le moindre habitant doté d’un smartphone se transforme en délateur en puissance. Dans un tel contexte, la remontée d’information pourrait être aussi rapide que fatale pour les personnes visées.

 

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La censure indirecte, c’est maintenant ?

Plongeons-nous dans une seconde situation fictive plus contemporaine. Vous êtes un personnage public, et évoluez dans un environnement professionnel exposé et porté à gauche. Seul problème : vous avez des convictions politiques diamétralement opposées à vos collègues. Un jour, vous décidez de vous rendre à un meeting de votre parti de prédilection, mais ce dernier est diabolisé (ex : FN, RBM ou Parti Anti Sionniste si la situation se déroulait en France).

Au sein du meeting, un participant vous reconnaît, et poste votre photo sur les réseaux sociaux sans même penser à mal. Le post est retwitté, et fait boule de neige. Rapidement, il est porté à la connaissance de vos collègues de travail.  Vous êtes sur la sellette. Au mieux, vos relations se dégraderont fortement avec vos collègues de travail. Au pire, vous serez licencié avec toutes les conséquences que cela implique.

Dans cet exemple, nous partons d’un cas de figure favorable dans la mesure ou « L’informateur » d’un jour n’est pas animé de mauvaises intentions. Pourtant, il est intéressant de constater que l’issue aurait été la même si un opposant politique avait procédé à la remontée d’information dans le but de nuire.

Remontons dans le temps : le meeting n’a pas encore eu lieu, vous connaissez les réseaux sociaux, et vous vous trouvez confronté à un dilemme. Vous y rendre avec les risques que cela implique, ou vous abstenir. Finalement, vous vous abstiendrez, et souffrirez d’une forme de censure indirecte.

Ce scénario est loin d’être surréaliste. Même si cela n’a pas de rapport direct avec Twitter, souvenez-vous de l’éviction du patron de la fondation Mozilla suite à sa prise de position contre le mariage homosexuel.

Les outils de la tyrannie ?

Le titre contient un début de réponse. Les réseaux sociaux ne sont rien d’autre que des outils mis au service des hommes. Et comme avec chaque outil, Twitter et Facebook ne sauraient être tenus responsables de la mauvaise utilisation que les hommes font d’eux. Même en étant d’un naturel méfiant (paranoïaques diront certains), je ne pense pas que les réseaux sociaux aient été sciemment créés dans le but de restreindre les libertés individuelles. Twitter comme Facebook partent d’une bonne idée, et continue d’exister grâce à leur popularité, ainsi que bien sûr, grâce aux profits qu’ils permettent d’engendrer.

Ceci étant dit, même si l’idée de départ est positive, rien n’empêche un gouvernement ou lobby mal intentionné d’utiliser ces outils et les données qu’ils génèrent à leur profit.

Android : formater une carte SD en exFAT pour y stocker des fichiers de plus de 4 Go

décembre 24, 2014 4 commentaires

01660736-photo-logo-sdPar défaut, les cartes mémoires SD sont souvent formatées en Fat 32 pour assurer une compatibilité parfaite avec Windows, Mac OS, mais aussi Android et Windows Phone. Si le côté tout terrain du Fat 32 est appréciable, ce type de formatage présente un inconvénient de taille. En effet, il ne permet pas stocker des fichiers de plus de 4 Go, ce qui s’avère particulièrement gênant lorsqu’on souhaite manipuler les films HD (MKV, par exemple). Voici comment contourner le problème pour profiter pleinement de la capacité de vos cartes SD.

Étape 1

Sur un ordinateur sous Windows 7 ou Windows 8, ouvrez l’explorateur de fichier (pressez le touches Windows + E pour y accéder rapidement).

Étape 2

Insérez votre carte micro SD dans un lecteur de carte mémoire, puis insérez ce lecteur dans la prise USB de votre ordinateur.

Étape 3

Cette fois, repérez votre carte SD, et effectuez un clic droit sur cette dernière et choisissez « formater »

Étape 4

Choisissez exFAT, et cliquer sur « formater ». Attention, toutes les données de votre carte mémoire seront supprimées, assurez-vous d’effectuer une sauvegarde préalable. En fin d’opération, tout est terminé, vous pouvez désormais stocker des fichiers de plus de 4 Go sur votre carte mémoire, et insérer cette dernière dans votre smartphone préféré.

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Les 7 défauts de l’iPhone 6 : pourquoi je n’achèterais pas le nouveau smartphone d’Apple

septembre 22, 2014 2 commentaires

Heureux possesseur d’un iPhone 4S, et de l’iPhone en général depuis ses débuts, je l’attendais comme le messie. Il faut dire que les l’iPhone 5 et 5S ne m’avaient pas vraiment enthousiasmé. Design trop proche du 4, écran trop petit à l’ère des magnifiques Nexus 5 et autres LG G2. Non vraiment, je n’ai pas regretté de sauter cette génération. Ah c’est que je l’attendais cet iPhone 6. J’apprécie beaucoup son design, la taille de l’écran, bien sûr la facilité d’utilisation de l’iOS, sans compter le nombre impressionnant d’applications, souvent de qualité. La suite en aura décidé autrement…

Le prix

Tout est dans le titre. Je pourrais me contenter d’une ligne, préfère m’étendre brièvement sur le nouveau découpage de la gamme par capacités de stockage. En effet, depuis l’iPhone 6, Apple a supprimé la version 32 Go de son catalogue pour lui adjoindre le double de mémoire. Si l’idée peut paraitre séduisante, la réponse me parait inadaptée. Premier problème : l’ignoble version 16 Go reste présente au catalogue au prix de démarrage de 709 euros ou mieux 809 pour le 6 Plus ! Sur un plan purement fonctionnel, cette capacité de stockage est une hérésie pure. Ce volume est inadapté pour la capture vidéo compte tenu du l’espace conséquent occupé par les séquences 1080p. Pour mémoire : la couche photo d’iOS ne permet pas de réaliser des vidéos dans une résolution inférieure. Sans oublier le volume occupé par les applications dont le nombre constitue l’un des gros points forts de l’iPhone. Bref, Apple aurait été plus avisé de remplacer la version 16 Go par la version 32 Go qui aurait pu être suivie des version 64 et 128 Go pour rétrospectivement 100 et 200 euros de plus. Au final, comme d’habitude chez Apple, l’entrée de gamme sert uniquement à vous accrocher pour vous orienter vers le modèle supérieur (cas analogue avec le MacBook air 64 Go à l’époque).

Un capteur photo dépassé

Quel ne fut pas mon étonnement (pour ne pas dire ma déception) lors de l’annonce de la résolution du capteur pendant la Keynote ! Pardon, 8 mégapixels ? Comme sur l’iPhone 4S sorti en octobre 2011 ? Je vois d’ici les grands professionnels de la photo m’expliquer que la résolution ne fait pas tout, ce qui est exact si l’on compare deux tandems capteur / optique de qualité différente. Je répondrais simplement qu’ont qualité de capteur, optique et traitement photo égale, le capteur de plus forte résolution l’empotera toujours. À l’extrême, prenons l’exemple du sur-échantillonnage 41 mégapixels des Windows Phone Lumia Pure View qui offrent un résultat absolument magnifique. Bref, pour en revenir à l’iPhone 6, messieurs de chez Apple, nous sommes bien en 2014, et cela fait bien un an que vos petits amis de chez Samsung et Sony équipent leurs terminaux de capteurs 16 mégapixels (voire 20.7 pour Sony). Bien bien sûr, que resterait-il à l’iPhone 6 S dont nous voyons là une caractéristiques se déssiner ?

Pas de stabilisation optique

Et oui, la fonctionnalité phare de l’excellent (bien que lourd) Nokia Lumia 920 sorti en octobre 2012 n’est toujours pas de la partie sur iPhone 6. Pour disposer d’une stabilisation mécanique, vous devrez impérativement opter pour l’iPhone 6 Plus. Outre les économies de bout de chandelle, cette décision peut s’expliquer par la taille de guêpe de l’iPhone 6 (à peine 6.9 mm d’épaisseur). Honnêtement, en tant que consommateur, la course à finesse inférieure à 9 mm ne m’intéresse pas lorsqu’elle s’effectue au détriment des fonctionnalités. Outre la stabilisation du capteur, je pense par exemple à l’autonomie dont il me tarde de connaitre les performances réelles. Dans l’hypothèse où elle serait bonne, l’autonomie serait forcément meilleure en présence d’une batterie plus volumineuse, bref, je m’égare.

Pas de capture en 4K

C’est un fait, à l’heure où j’écris ces lignes, les téléviseurs 4K sont peu, voire pas du tout rependus / démocratisés. Dans ce cas, pourquoi critiquer l’absence de cette fonctionnalité sur iPhone 6 ? Dans l’absolu, je préfère avoir la possibilité de filmer en 4K dès à présent. Premier point, de Samsung à Sony, tous les concurrents sérieux s’y sont mis. Compte tenu de cet état de fait, et compte tenu du prix de vente très élevé des iPhone 6, il est dommage qu’Apple ait une coudée de retard. L’iPhone est (aussi) une vitrine technologique et à ce titre, se doit de disposer des dernières technologies. Enfin, on ne peut pas à la fois critiquer l’absence de TV 4K et en parallèle, se réjouir de l’absence d’appareil produisant du contenu tirant profit d’une telle résolution. Bref, même si la 4K n’est pas encore indispensable, l’heure est arrivée de donner le choix à l’utilisateur de réaliser de tels vidéos ou non.

Toujours pas étanche

iPHone 6 modèlesAprès l’Eluga de Panasonic à la diffusion confidentielle, Sony a impulsé la tendance des smartphones étanches avec sa gamme Xperia Z. Même si la tropicalisation n’est pas aussi aboutie sur Galaxy S5, Samsung a tout de même fait l’effort d’emboiter le pas à Sony. Pour sa part, Apple préfère doter ses iPhone d’un système de détection d’humidité placé dans la prise jack histoire d’annuler les garanties des malheureux clients contraints de déplorer la pose pipi la plus cher de leur existence. C’est un choix, mais là aussi, quitte à payer mon compagnon électronique un tel prix, j’ai tendance à avoir une préférence pour les dispositifs protégeant son existence.

Pas de rechargement par induction

Selon certaines personnes n’ayant jamais pratiqué le rechargement par induction, ce procédé est totalement inutile. Pour utiliser ce système avec mon Lumia 920, ma Google Nexus 7 édition 2013 ou plus récemment, ma LG Pad Pro 8 désormais équipée d’un patch inductif, j’aurais du mal à tenir le même discours. Certes, le rechargement par induction n’est pas indispensable et ne le sera jamais. Toutefois, son utilisation ajoute un confort au quotidien particulièrement appréciable, à plus fortes raisons en présence d’un appareil qui doit être rechargé tous les jours pendant plusieurs années. À cela, on pourrait ajouter l’absence totale de risque de détérioration de la connectique lors du branchement ou débranchement, ou d’éjection du téléphone parterre lorsque le distrait de service percute le câble de rechargement sur son passage.

Un circuit NFC sous exploité

Le NFC existe depuis des lustres sur Android, ou même Windows Phone. L’adoption par Apple même tardive est-elle forcément une bonne chose, non ? Sur iPhone 6, Apple indique que le NFC se limitera aux payements sans contact. Concrètement, Apple compte surtout s’assurer une nouvelle source de revenus, puisque l’entreprise touchera un pourcentage sur chaque transaction effectuée à l’aide de son mobile. Si le procédé devait rapidement se démocratiser aux États-Unis, force est de constater que le NFC peine toujours à décoller dans le vieux continent. Traduction : le NFC ne vous servira concrètement à rien lors des premières années de commercialisation de l’iPhone 6. On aurait pu se consoler avec une autre fonctionnalité NFC bien pratique. En effet, que ce soit sur Android ou Windows Phone, le NFC peut être utilisé pour appairer très facilement un appareil Bluetooth. Prenons l’exemple d’un casque d’écoute Bluetooth : placez-le simplement à proximité du circuit NFC du mobile, l’appairage s’effectuera automatiquement. De quoi éviter un couplage souvent laborieux. Rien de tout cela avec iPhone, le NFC se limitant aux payements.

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Freenautes : téléphonez gratuitement avec votre iPhone ou votre smartphone Android !

AA009679Envie de téléphoner gratuitement avec votre iPhone ? Le tuto suivant vous donnera les marches à suivre pour atteindre cet objectif. Certes, la manipulation a quelque peu perdu de son intérêt depuis l’arrivée des forfaits Web et voix illimités à bas prix (Free, Sosh, B & You). Néanmoins, cette astuce offre quelques avantages par rapport au GSM classique, explications.

Le bénéfices du SIP :
La manipulation suivante vous permettra d’utiliser le protocole SIP pour utiliser votre ligne FIXE Free sur votre MOBILE sous iOS de manière à passer des appels via Wi-Fi.

Voici les avantages du procédé :

  • Gratuité des appels vers les fixes.
  • Possibilité de passer des appels si mauvaise ou pas de couverture GSM (si Wi-Fi).
  • Possibilité de recevoir ses appels FIXES sur son mobile (en vacances, par exemple).
  • Possibilité d’appeler gratuitement sa ligne fixe (maison) en utilisant sa ligne fixe (depuis le mobile).

Tutoriel :

  • Première étape, téléchargez et installez l’application qui correspond à votre mobile :

Télécharger l’application Android.
Télécharger l’application iPhone.

  • Rendez vous dans l’interface de gestion de votre Freebox et cliquez sur la rubrique téléphonie, puis choisissez « paramétrer mon compte SIP ». Activez le service et choisissez un mot de passe.

    C’est également ici que vous pourrez choisir de rediriger les appels entrants vers votre téléphone mobile lorsque vous quittez votre maison en vacances, par exemple.

freebox

  • Cette fois, paramétrez Linphone. Cliquez sur options et entrez votre numéro de téléphone freebox dans la case « Nom d’utilisateur ». Maintenant, entrez votre mot de passe SIP paramétré lors de l’étape précédente. Dans la case domaine, saisissez « freephonie.net ». Tout est prêt, vous pouvez émettre des appels en Wi-Fi, ou recevoir des appels si vous avez coché la case correspondante dans l’interface de votre Freebox.
    Linphone

Magasin Angry Birds à l’aéroport d’Helsinki en Finlande

Un magasin exclusivement consacré aux produits dérivés d’Angry Birds est présent dans l’aéroport d’Helsinki. Je vous propose de le découvrir au travers d’un diaporama vidéo. Au menu, peluches en tout genre, goodies et t-shirts. Rappelons que les studios de Rovio (développeur du jeu) sont implantés en Finlande, non loin du QG de Nokia (Nokia House).


PS : Ce diaporama vidéo a été réalisé et uploadé sur YouTube via iPhone grâce à l’application Photoslides.

Bouton home iPhone et iPad HS : palliatif et préventif

septembre 23, 2012 8 commentaires

Que faut-il faire pour retarder le phénomène ? Comment contourner le problème lorsque les touches Home ou Power de l’iPhone sont hors service, ou souffrent d’un faux contact ? Supermatos vous donne les clés!

Touches Power : la prévention

Dès les premiers signes de faiblesses de la touche Power de l’iPhone, il est recommandé de démarrer son téléphone en actionnant la touche Home, et non Power. Au final, l’effet est rigoureusement identique. Le mobile s’allume, il ne reste alors qu’à l’utiliser, ou le déverrouiller. Certes, en apparence, cette méthode ne fait que déplacer le problème sur la touche Home. Dans le paragraphe qui va suivre, nous verrons comment économiser cette touche au maximum.


Touche Home iPhone : la prévention

Cette astuce s’adresse aux personnes qui souffrent d’un problème de faux contact avec leur bouton Home sur iPhone ou iPad. La méthode s’avère également idéale pour prévenir tout problème avec cette touche et pour cause, elle permet de se passer presque totalement du bouton physique Home sans avoir à effectuer le moindre Jailbreak. Via le menu des options, nous allons activer une touche Home virtuelle tactile.

Rendez-vous dans les réglages de l’iPhone. Cliquez sur Général. Tout en bas de page, choisissez la rubrique « accessibilité ». Dans « Accessibilité », tout en bas de la page, ouvrez la rubrique « AssistiveTouch » et activez l’AssistiveTouch. Désormais, une pastille tactile translucide s’affiche sur l’écran. Cette dernière reste active en permanence, mais il est tout de même possible de la déplacer en cas de besoin. En l’actionnant, vous verrez apparaître un bouton Home tactile. On peut aussi accéder à la touche de verrouillage en sélectionnant « Appareil ». Après une brève période d’adaptation, on parvient presque à se passer totalement du bouton Home de l’iPhone.

Touche Home iPad : la prévention

Rendez-vous dans les réglages de l’iPad (hors iPad 1) et choisissez et activez les « gestes multitouch ». Désormais, pour fermer un programme, posez les 5 doigts de votre main, et glissez tous vos doigts vers un même point (ce qui revient à fermer la main en glissant ses doigts sur l’écran).

Pour accéder au gestionnaire de tâches, posez 5 doigts sur l’écran, et effectuez un mouvement glissé vers le haut. Cette fois encore, l’astuce vous permettra de vous passer presque totalement du bouton Home de votre iPad !

Quant une touche iPhone ne fonctionne plus

Les touches Power ou Home de votre iPhone ou iPad sont définitivement hors service ? Votre appareil n’est plus sous garantie ? Pas de panique, des solutions existent. Lorsque ce cas de figure se présente, il est recommandé de se rapprocher d’une boutique de réparation de mobile de confiance. En général l’opération de changement de bouton est facturée une soixantaine d’euros.

Mes 7 meilleurs applications photo pour iPhone et iPad !

Depuis que nos mobiles se sont dotés d’APN de qualité, les appareils photo compacts ont été relégués au second plan. Par rapport aux appareils photo classiques, les smartphones sont dotés d’une arme imparable. Je pense aux applications capables de donner ses lettres de noblesse à la photo sur mobile ! Cette semaine, je vous propose de découvrir mes 6 applications photo coup de coeur sur iPhone et iPad. Panoramas classiques ou 3D, filtres et cadres fantaisie, déformations en tout genre… il y en aura pour tous les gouts ! À vos déclencheurs, prêts, shootez !

Camera+ : remplacez la couche photo d’iOS !

L’interface de prise de vue native de l’iPhone est pour le moins austère ? Caméra + propose purement et simplement de la remplacer tout en ajoutant une foule d’options sympathiques ! Pari réussi : une fois qu’on a pris le pli, on ne peut plus se passer de l’outil, mais venons-en aux faits. La première des grandes forces de Camera + réside dans la possibilité d’ajuster finement l’exposition manuellement avant de déclencher la prise de vue. Pour ce faire, après avoir sélectionné la zone de focus à l’aide de l’index, il suffit de cliquer sur le « + », et de déplacer un anneau sur la surface de l’écran… redoutable.

On apprécie également la présence d’un mode rafale, d’un minuteur ou d’un stabilisateur. De plus, par défaut, les prises de vue sont enregistrées dans une mémoire tampon (lightbox), ce qui vous permet d’effectuer un pré tri ou des retouches pour transférer uniquement les meilleures photos vers la pellicule d’iOS. Je pourrais également m’étendre sur les nombreux filtres artistiques (retro, polarize, ’70, etc.), les possibilités de partage (Twitter, Facebook, FlickR) ou d’édition (rotations, recadrage, etc.), mais je préfère m’arrêter là. En bref, si vous êtes à la recherche d’un excellent programme de prise de vue pour palier les carrences de la couche photo d’iOS, ne cherchez plus, << Camera + >> est fait pour vous.

Autostich : l’incontournable du panorama

Autostitch est un programme spécialisé dans la création de panoramas. Les développeurs n’en sont pas vraiment à leur coup d’essai. Ces derniers sont à l’origine d’une version « desktop » disponible sous Windows depuis de nombreuses années. Revenons-en à l’iPhone. Sur le mobile d’Apple, Autostitch propose d’assembler des photos prises sur le vif, ou extraites de la pellicule d’iOS.

Les photos de base peuvent être capturées en mode paysage, ou en mode portrait si l’on souhaite maximiser la hauteur. Si le mode portrait s’avère insuffisant, il est même possible de photographier deux rangées de clichés (voir exemple ci-dessous). Autostitch se chargera alors d’assembler automatiquement les rangées d’images.

Dans la très grande majorité des cas, le programme fonctionne à la perfection. On apprécie la propreté des raccords ainsi que l’harmonisation automatique du taux d’exposition. Cerise sur le gâteau : Autostitch est doté d’une fonction de rognage permettant éliminer les bordures noires disgracieuses. Seules les scènes très complexes (par exemple, feuillage d’arbre sur la majeure partie de l’image) mettent Autostitich en difficulté. Remarque : dans les réglages, on peut opter pour une qualité supérieure. Attention, l’activation de cette option ralentit le temps de traitement des panoramas.

Photo Effect Studio : donnez de l’effet à vous photos !

Photo Effect Studio est une petite perle ! Le programme permet d’améliorer ses photos en agissant sur un grand nombre de paramètres regroupés au sein de 5 grandes catégories. La première d’entre elles propose de jouer sur la couleur, la luminosité ainsi que le contraste. Vient ensuite la rubrique rotation qui — comme son nom l’indique — donne la possibilité de retourner la photo dans tous les sens possibles (mode miroir compris). On enchaine avec l’une des rubriques les plus intéressantes, à savoir le mode « FX ». Ce dernier regroupe pléthore de filtres artistiques particulièrement réussis ! Vintage, noir et blanc, lens flare, mode lomo et j’en passe… comme si cela ne suffisait pas, chacun des effets est décomposé en 9 sous effets tous plus réussis les uns que les autres !

Enfin, pour parachever son oeuvre, PE Studio propose pas moins de 11 cadres artistiques qui ajoutent un cachet supplémentaire. On finit sur le mode « recadrage » qui se paye carrément le luxe de proposer un large panel de ratios prédéfinis (3:2, 4:3, 16:9, etc.)… il fallait y penser. Bref, nous tenons un must incontournable qui n’aura aucun mal à reléguer la couche photo de l’iPhone au rang de mauvais souvenir !

Panorama 360 : pour voir les choses en grand !

Avec Caméra + , Panorama 360 allonge la liste des grands classiques dans le domaine des applications de photo sur iPhone. Comme son nom l’indique, Panorama 360 permet de réaliser… des panoramas à 360 degrés. Le programme fait fort dans la mesure où il est capable de prendre une série de photos automatiquement en se basant sur l’accéléromètre, et sur la boussole numérique.


Après avoir déclenché la prise initiale, il suffit de tourner l’iPhone partout autour de soi pour réaliser un panorama intégral. Bien sûr, dans la mesure du possible, il faut effectuer une rotation sans s’éloigner du point de départ. Il faut également éviter les scènes mixant des zones de faible et de forte exposition (lever ou coucher du soleil, par exemple). Une fois la photo achevée, l’œuvre peut être contemplée sur l’écran de l’iPhone ou iPad, mais elle peut également être transférée par email, ou envoyée sur les réseaux sociaux (Twitter, Facebook). Un must !

Photosynth : les panoramas 3D sphériques

Nettement moins connu que Panorama 360, Photosynth n’en demeure pas moins intéressant à plus d’un titre. Il s’agit également d’un programme de panorama, mais cette fois, Microsoft (géniteur du logiciel) va encore plus loin ! Là où Panorama 360 se contentait de vues à 360 degrés animés horizontalement comme s’il s’agissait d’un ruban plat (sur un ordinateur), Photosynth modélise l’ensemble du décor qui vous entoure sous la forme d’une sphère complète ! Une fois la capture achevée, il est possible de contempler ce cliché d’un autre genre dans toutes les directions possible !

Les photos peuvent aussi être partagées sur le site de Photosynth (plug-in du moribond Silverlight requis, de mémoire). On peut aussi partager les photos par email, ou via les réseaux sociaux (Twitter et Facebook). Malheureusement, dans ce cas, on perd l’effet simili 3D qui fait tout le charme de Photosynth. Microsoft n’aurait aucun mal à vendre l’application tant cette dernière est aboutie. Au lieu de cela, la firme de Redmond distribue cette pépite gratuitement via l’App Store, que demander de plus ?

fini par évoquer les questions de prix. Une application aussi aboutie

PuddingCam : gratuit, mais  artistiques

PuddingCam est une petite application photo gratuite sans prétention qui réserve d’excellentes surprises. Le programme propose de réaliser des clichés artistiques à l’aide de son iPhone. Dans un premier temps, vous devrez choisir l’appareil photo de votre choix. À première vue, certains boitiers étonnent par la présence de multiples objectifs (1, 2, 3 ou 4 selon les modèles).

PuddingCam ne trompe pas sur la marchandise : si certains appareils photo se distinguent par le grain de leur pellicule, d’autres permettent de réaliser des clichés en assemblant plusieurs prises de vue ! Effet garanti pour peu que la scène se prête à l’exercice. Dans le lot des nombreux effets, on apprécie tout particulièrement l’appareil  » Fantasy  » pour son flou périphérique conférant un cachet  » reflex » du meilleur goût ! À l’heure où j’écris ces lignes, PuddingCam est proposé gratuitement, les amateurs de création photo auraient tort de s’en priver !

Fatify : super size me !

Fatify répond à une question ô combien existentielle :  » à quoi ressembleriez-vous avec 100 kg de plus ? ». Lancez l’application, ouvrez une photo de la pellicule, ou prenez un instantané de votre charmant minois avec la Webcam de votre iPhone ou iPad, ajuster le gabarit, indiquez emplacement des yeux et de la bouche… Il ne vous reste plus qu’à attendre quelques instants pour observer le résultat.

Non seulement Fatify se montre particulièrement efficace en générant un portrait crédible, mais en plus, le programme anime avec un effet gélatineux le tout lorsqu’on passe l’index sur la photo. Fous rires garantis… à moins de parvenir au même résultat sans passer par Fatify. Une fois votre forfait accompli, vous pourrez partager la photo ou la vidéo par email, Twitter, Facebook ou YouTube. À défaut d’être indispensable, cette application fantaisie est étonnante !

Des suggestions ? Envie d’ajouter des utilitaires à cette liste ? Suggérez vos pépites par le biais des commentaires, nous nous ferons un plaisir de les ajouter dans l’article.

Comment classer les applications par taille sur iPhone ou iPad ? La réponse en photo et vidéo !

Votre iDevice est à l’étroit ? Sa mémoire est saturée ? Pour passer un rapide coup de balai, il est indispensable de repérer rapidement les applications les plus lourdes. À l’issue de cette opération de repérage, vous pourrez commencer votre élagage salvateur. Malgré son excellente ergonomie, iOS ne propose pas d’option de classement des applications par taille. Voici deux méthodes qui vous permettront de contourner cette limitation.

Si votre iPhone n’est pas jailbreaké

Sauf erreur, une seule solution dans ce cas. Pour commencer, si ce n’est pas déjà fait, vous devrez impérativement synchroniser votre iPhone ou votre iPad avec cette usine à gaz d’iTunes (oui, je sais…). Si vous respectez ce pré requis, cliquez sur votre iPhone ou iPad dans la barre de navigation verticale de gauche. Sélectionnez ensuite « Apps » dans barre de navigation horizontale. En dessous la rubrique « Synchroniser les apps » (qui doit impérativement être cochée), ouvrez le menu déroulant, et choisissez « trier par taille). Supprimez alors les applications volumineuses encombrantes.

Si votre iPhone est jailbreaké

Dans ce cas, les choses sont nettement plus simples. Rendez-vous sur Cydia pour y télécharger AppInfo. Je ne vous ferais pas l’affront de vous indiquer la procédure. Ce précieux utilitaire gratuit simplissime que l’on doit à BigBoss permet de classer les applications par taille (à l’issue d’un scan parfois longuet). Pour voir le programme à l’œuvre, consultez la vidéo suivante :

Pour aller plus loin

Budget high-tech d’un Geek : une passion onéreuse ?

Le geek peut être amené à dépenser des sommes importantes pour s’approvisionner en matériel high-tech. Pour avoir une idée de ce à quoi peut ressembler le budget matos d’un technophile, j’ai établi une estimation chiffrée en me basant sur mon cas personnel. Un cas certes extrême, mais qui n’en demeure pas moins riche en enseignements.

 

 

Le bilan global

Attention, il s’agit d’un bilan d’entretien et renouvellement du matériel high-tech. Les gains générés par la revente des anciens appareils sont pris en compte (cas iPhone, iPad, Macs, etc.). En revanche, pour l’upgrade des PC, seul le prix des nouvelles pièces est comptabilisé. Autre précision d’importance : ici, le coût d’équipement initial n’est volontairement pas chiffré. Il n’est pas question de truquer le bilan, mais plutôt de s’approcher au mieux de mon cas (au besoin, chacun pourra modifier ce tableau comme il l’entend). Enfin, j’ai pris le parti d’intégrer les jeux vidéos, même s’il ne s’agit pas de matériel à proprement parler.

 

Telecharger le ficher Excel, modifiez-le à loisir, et donnez nous votre retour.

 
 
 

Les enseignements

  • Première constatation paradoxale : revente oblige, le budget est à la fois énorme, et restreint, je m’explique. La somme de 1174 euros est loin d’être négligeable, mais si l’on considère l’envergure du parc à entretenir, le chiffre parait raisonnable. Le high-tech est une passion comme une autre. On imagine sans mal que les accrocs de moto, tuning auto et autres collectionneurs de tous poils allouent un budget infiniment plus important à leurs hobbies respectifs.
  • La seconde constatation découle de la première : le coût reste raisonnable (toutes proportions gardées) en raison de la revente.
  • Autre enseignement en filigrane : sans entrer dans un débat stérile opposant les détracteurs de Windows aux Apple hater, force est d’admettre que les appareils Apple se revendent mieux. Au final, aussi étrange que cela puisse paraitre, pour dépenser moins, il faut acheter le matériel le plus cher. Le bénéfice est triple puisqu’on dispose d’un appareil plus performant, de meilleure qualité, tout en dépensant moins. Une parfaite illustration des dictions : << nous n’avons pas les moyens d’acheter bon marché >>, ou << le moins cher est toujours trop cher >>.

NB : Un exemple concret pour étayer mes dires : chaque année, je revends mon iPad Wi-Fi de 16 Go 400 euros un mois avant la sortie du nouvel iPad. Un mois plus tard, je rachète l’iPad suivant 480 euros en neuf, ce qui nous donne un total de 80 euros / an, soit le prix d’un simple Apple Care (extension de garantie d’un an constructeur) pour disposer de la version dernier cri.

  • Cette règle rebondit sur le chapitre précédent. Après les dictons de grand-mère, passons aux variantes geek sauce 2012 : << le jeu vidéo bon marché est toujours hors de prix >>. Le budget jeu annuel de 500 euros mentionné dans cet article se compose uniquement de jeux mobiles à 79 centimes saupoudrés d’une poignée de jeux Steam en promotion dont les prix varient entre 5 (cas fréquent) et 30 euros (cas rarissimes). On constate donc que les jeux bon marché ont des allures de pièges déguisés, ce qu’Apple et Gabe Newel ont dû comprendre depuis longtemps. Lorsque les jeux sont (très) bon marché, l’acheteur potentiel outrepasse totalement ses limites habituelles. Sans m’avancer, je pense que le budget annuel était inférieur lorsque je m’approvisionnais en jeux console à 50 – 60 euros.Et vous, quel est le montant de votre budget high-tech ? Pour le savoir, téléchargez et modifiez le tableau pour l’adapter à votre cas personnel. Si vous avez d’autres idées (constats, dépenses oubliées), n’hésitez pas.